~ nosey bitches die. ~
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 TITRE EN COURS DE CHARGEMENT

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Megara Humphries

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Megara Humphries
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MESSAGES : 182
ARRIVÉ(E) LE : 07/11/2012

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MessageSujet: TITRE EN COURS DE CHARGEMENT   TITRE EN COURS DE CHARGEMENT EmptyJeu 17 Jan - 10:35


humphries, megara jane

~ JUST LIKE ALL THOSE PRETTY LIGHTS ~

NOM : Humphries, le nom de famille de sa mère. Elle portait celui de son père, Weschler, mais à faire la demande administrative de changer lorsqu'elle fut enfin majeure. PRENOMS : Megara était le prénom qu'avait choisi sa mère avant sa naissance, c'est pourquoi son père a eu la décence de la prénommer ainsi. Jane était le prénom de sa grand-mère paternelle. AGE : Elle a eu vingt-huit ans, il y a peu. DATE DE NAISSANCE : 05 novembre de l'année 1984. LIEU DE NAISSANCE : Dans un petit hôpital de St George (UTAH), ville où elle a grandit. METIER OU ETUDE : Masseur-kinésithérapeute, un métier trop peu répandu aux states. SITUATION AMOUREUSE : Elle est fiancée et son mariage est prévue pour dans quelques mois. ORIENTATION SEXUELLE : Totalement hétérosexuelle, elle aime les hommes, les vrais. NIVEAU SOCIAL : Plutôt aisée, elle gagne assez bien sa vie et son futur-mari aussi. GROUPE : écrire ici AVATAR : La belle Amber Heard.
PARLE NOUS UN PEU DE TON SECRET, DE CE QUE TU PENSES DES SMS ET DE CE QUE TU SERAIS CAPABLE DE FAIRE POUR LE GARDER. mon secret c'est le genre de chose qu'on aimerait emmener avec nous au fond de notre tombe. un secret bien trop sombre pour une jeune femme comme moi. un secret que personne ici ou ailleurs ne supposerait. lorsque j'avais seize ans et suite à une énième dispute, j'ai tué mon père en le poussant dans les escaliers. un geste au départ innocent, mais qui lui a coûté la vie. je me suis aussitôt réfugiée chez mon meilleur ami qui m'a aidé à faire disparaître le corps. de toute façon il ne manquerait à personne, pas même à moi. je pensais qu'en emménageant ici, cette histoire ne serait qu'un mauvais souvenirs, mais avec l'apparition de ces messages je commence à angoisser. c'est une horreur de jouer avec la peur des gens et si jamais mon secret venait à être découvert ma vie serait fichue. certes je pourrais plaider la légitime défense, tout le monde savait que cet homme était un pourri, mais je perdrais tous ceux qui me sont chers. alors oui je serais prête à tout pour ne pas qu'il soit révélé au grand jour et quand je dis tout c'est VRAIMENT tout. je mangerais mes excréments s'il le faut, ferait du mal à mes proches même, parce que je sais qu'au final ce sera pour leur bien.


chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★ chose a savoir ★



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MessageSujet: Re: TITRE EN COURS DE CHARGEMENT   TITRE EN COURS DE CHARGEMENT EmptyJeu 17 Jan - 10:36

it's like wishing for rain
as i stand in the desert

Depuis le jour de ma naissance, ma vie n'a été qu'une succession de malheurs. Je n'ai jamais vraiment connu ce qu'était de vivre dans une famille aimante et soudée. Lorsque je voyais ces mères accompagner leurs enfants à l'école, les prendre dans leurs bras, et tout l'amour qu'elles leur donnaient, des larmes venaient couler le long de mes joues et un pincement m'attaquait au coeur. Je n'ai jamais connu ma mère. Elle est morte en me donnant naissance. Mon père, quant à lui, n'était qu'un alcoolique qui se laissait aller à la violence lors de ses périodes de crises. Il ne m'a jamais vraiment pardonné la mort de ma mère. Selon lui je suis la cause de son mal être, je suis celle qui a tué la femme de sa vie. Oui, ma vie n'était faite que de malheurs, jusqu'à aujourd'hui. J'étais sur le point de me marier à l'homme le plus formidable qu'il puisse exister. J'étais heureuse, mais le destin m'a rattrapé. Mon passé a refait surface apportant avec lui tout ces malheurs que j'aurais aimé pouvoir, à tout jamais, oublier.
VILLE DE ST GEORGE - ANNÉE 2000.

Un tour, deux tours, trois tours ... La bouteille tournoyait sur elle-même depuis quelques secondes maintenant et ce grâce à l'impulsion donner par ma main. Je sentais le stress m'envahir. Je n'avais jamais vraiment aimé jouer à ce jeu puéril, mais je m'étais laissée aller sur les conseils de mon meilleur ami. La bouteille s'arrêta enfin et pointa par son goulot Leroy qui fut tout aussi gêné que moi. Nos amis, autour de nous, se mirent à rire en coeur. Cette situation aussi gênante était elle pour nous, avait l'effet inverse sur eux et les amusait. « C'est ton jour de chance Megy, tu vas enfin pouvoir embrasser ton doux Leroy. » La langue à moitié sortie de ma bouche, je lui fis la grimace. Pour moi, il était inconcevable que je l'embrasse. Non pas lui, pas mon meilleur ami. Je croisais les bras autour de ma poitrine, décidée à ne pas me soumettre aux règles du jeu. Je clamais la tricherie et déclarais combien je trouvais ce jeu stupide et enfantin. Puis une main vint se poser sur ma cuisse, celle de Leroy dont le visage faisait désormais face au mien. « C'est qu'un jeu, Meg, sérieusement, tu t'en remettras. » Son sourire fut contagieux et, lorsqu'il approcha ses lèvres des miennes, je me laissa faire oubliant complètement ceux qui se trouvaient en cercle autour de nous. Notre baiser terminé, une sensation étrange me parcourut toute entière. Des ouh et des ah sortaient de la bouches de nos amis et je ne pus me retenir de jurer. « Bande d'abrutis! » Je me relevais doucement, attrapais mon sac et sortais de la grange qui appartenait aux parents de Leroy. Alors que je m'aventurais seule dans le noir, une voix se fit entendre derrière moi. Leroy m'avait suivit et criait mon prénom pour que je m'arrête. Lorsqu'il arriva à ma autour, je n'osais à peine le regarder dans les yeux. En fait j'avais honte, honte de moi. J'avais honte parce que ce baiser, je l'avais apprécier et que je savais que cette sensation n'était pas réciproque. Il tenta de me convaincre de rester, mais, les poings serrés, je restais sur mes positions. Il se contenta d'un simple baiser sur la joue avant de repartir voir les autres. « Fais attention à toi et envois un message quand tu seras arrivée. » J’acquiesçais d'un banal signe de la tête et marchais en direction de chez moi d'un pas rapide.

Je poussais la porte d'entrée le plus discrètement possible, espérant de tout mon être que mon père s'était endormi dans le salon. Sur la pointe des pieds, je marchais à travers le couloir en direction des escaliers, mais une voix roque me stoppa dans mon élan. « C'est à cette heure-ci que tu rentres ? Où étais-tu ? Je croyais t'avoir formellement interdit de traîner avec ces garnements! » Ma mâchoire se crispa et je dus contenir ma colère pour ne pas crier. C'est donc d'une voix calme et posée que je lui répondais tout en grimpant les marches des escaliers. « Ce ne sont pas des garnements, mais mes amis. » Il se leva de son siège et s'avança doucement vers le couloir que j'essayais de fuir le plus calmement possible. « Des petits cons oui ! Ton jolie petit cul voilà à quoi ils pensent, à te baiser et te laisser comme la pauvre merde que tu es! » Je serrais les poings pour ne pas me laisser aller à cette rage qui envahissait mon esprit. Je grimpais les escaliers un peu plus vite, mais alors que je me trouvais enfin à l'étage il empoigna mon bras fermement m'empêchant ainsi d'effectuer le moindre mouvement. Son souffle venait caresser mes narines tout comme cette odeur d'alcool trop familière. « Laisses-moi tranquille, je veux aller me reposer dans ma chambre. » Je me débâtais comme je le pouvais, mais face à ses cents kilos de graisse et de bières, je ne faisais pas le poids. Sa main libre vint effleurer mon visage, puis caresser le reste de mon corps, avant de venir gifler ma joue. Des larmes de peur et de colère vinrent couler le long de mes joues et lorsqu'il tenta d’agripper mes cheveux et de me frapper, encore, mon réflexe fut de le pousser. De le pousser aussi fort que je le pouvais afin de me dégager de son emprise. Il recula comme je l'avais souhaité, mais trébucha sur la dernière marche avant de chuter dans l'escalier de de se retrouver inerte sur le sol du couloir. J'émis alors un rire nerveux en voyant cette flaque rouge provenant de son crâne et coulant sur le parquet. Adossée contre le mûr, je me laissais tomber à terre, les genoux replier contre ma poitrine, terrorisée. Je restais ainsi pendant près d'une heure, à pleurer et à fixer son corps, priant certainement pour qu'il se réveil et vienne me foutre une, mais également pour qu'il ne se relève jamais. Un sentiment contradictoire me faisait perdre l'esprit et alors que je pensais perdre la tête, je décrochais mon téléphone et composait le numéro de Leroy. Lui seul était capable de m'aider.

La porte s'ouvrit sur mon meilleur ami et je sursautais à son grincement. Toujours recroquevillée à terre, mon regard tétanisé n'avait pas quitter une seule seconde le corps de mon père. Les yeux de Leroy s'écarquillèrent au corps qui gisait sur le sol. Il le contourna et monta les marches pour me rejoindre. Mes oreilles bourdonnaient et je l'entendais à peine dire mon prénom. Lorsqu'il fut à ma hauteur, je me relevais rapidement et me jetais dans ses bras, me laissant à nouveau pleurer comme une madeleine. Sa main venait caresser mes cheveux et d'une voix calme une me chuchota quelques mots. « Viens, je t’amènes chez moi. » Il m'attrapa doucement la main et m'entraîna avec lui. Je me laissais faire, à vrai dire je n'avais plus réellement le contrôle de mon corps. Leroy n'habitait qu'à quelques maisons de la mienne et je me retrouvais rapidement dans son lit, la couverture sur moi et ses bras autour de mon corps. Il déposa un baiser sur mon front et tenta de me rassurer du mieux qu'il le pouvait. Il était tout autant effrayé que moi, je le savais, mais il s'efforçait de ne pas me le montrer dans ses mots et ses gestes. « Reposes-toi, je m'occupes de tout. Demain toute cette histoire ne sera plus qu'un vilain cauchemar, je te le promets. » Confiante, je fermais les yeux et retrouvais les bras de Morphée. A mon réveil, Leroy était à mes côtés. Il me conta son aventure et ce qu'il avait fait pour moi cette nuit là. Il m'expliqua qu'il avait enterrer le corps de mon père avec quelques affaires à lui et que tout le monde croira qu'il est parti dans la nuit. Il me dit de ne pas avoir peur et qu'il sera toujours là et je le croyais parce que je n'avais jamais eu autant confiance en quelqu'un qu'en lui. Mon retour à la maison fut difficile, je du prévenir la police que je m'étais retrouvée seule à mon réveil et qu'il me semblait que mon père avait fuit. Encore mineur, je fus mise sous la tutelle des parents de Leroy qui m'avaient gentiment accueillit chez eux. Je n'avais aucune autre famille à part mon père, mais je crois que ce jour-là j'avais rejoins celui qui était la seule et unique famille que j'avais : Leroy. Mon père ne manquerait à personne. Peut-être au gérant du bar où il traînait très souvent. Il était son meilleur client alors... Mon père n'avait pas d'amis, les seuls fois où il sortait de la maison c'était pour boire ou acheter de quoi boire. Non il ne manquerait à personne, pas même à moi.


SUR LA ROUTE - ANNÉE 2001.


VILLE DE CLEARFIELD - ANNÉE 2011.


VILLE DE CLEARFIELD - ANNÉE 2012.


(NUMÉRO INCONNU)

15h22 - 25 octobre

Ma petite Meg, comme tu es ravissante dans cette robe de mariée. A croire que tu as enfin réussi à trouver le bonheur. Crois-tu que ce charmant jeune homme à qui tu es promise resterait à tes côtés s'il s'avait ce que tu as fait ? Il n'est pas au courant, n'est-ce pas ? Il ne sait pas que tu as du sang sur les mains.
Surtout ne mange pas trop avant la cérémonie, tu risquerais de ne plus rentrer dans ta si jolie robe.
bisous -- NAT


(NUMÉRO INCONNU)

19h34 - 27 octobre

Quelle merveilleuse idée tu as eu. Faire venir ton tendre Leroy à Clearfield me met l'eau à la bouche. On va bien s'amuser, je te le promets.
bisous -- NAT

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